C’est fou ce qu’on peut faire avec une buche ! Un morceau de bois dans le foyer, et c’est le chauffage central de la maison, l’eau chaude sanitaire, et parfois même en plus la tarte aux pommes qui cuit dans le four à bois ! Qui dit mieux ?
Pour capter la chaleur du soleil
Pour stocker la chaleur et faire tampon
Pour remplacer le soleil en hiver
Régulation, sondes, pompes et vannes
Diffusion directe de la chaleur du poêle bouilleur
Distribution de chaleur dans les radiateurs et plancher chauffant
Toujours disponible via capteurs ou foyer bouilleur
Bouilleur avec four, mijoteur et feu vif, selon les options choisies
Printemps
Au printemps, les capteurs solaires ne seront peut-être pas suffisant pour apporter la chaleur nécessaire au chauffage central et à l'eau chaude. Allumez une flambée pour compléter la chauffe.
Eté
En été, les capteurs thermiques suffisent pour produire l'eau chaude sanitaire (ECS) nécessaire à l'habitation.
Automne
En automne, les capteurs solaires peuvent apporter la chaleur nécessaire au chauffage central. Et si une petite fraicheur arrive en fin de journée, le poêle sera là pour compléter l'appoint.
Hiver
Les capteurs font ce qu'ils peuvent en fonction de l'ensoleillement. Le bouilleur à bûche bois vient en sérieux appoint pour le chauffage central et l'ECS.
Rendement moyen
Le rendement d'un poêle, c'est son taux de combustion et la puissance (chaleur) récupérée. Dans ces foyers, la combustion du bois à haute température est rapide et totale, ce qui favorise un excellent rendement.
Un bouilleur annonce toujours 2 puissances en kW :
- Sa puissance rayonnée, ou à l’air. C’est la chaleur émise par la flamme dans l’air environnant.
- Sa puissance hydraulique, ou puissance à l’eau. C’est la puissance disponible pour chauffer le circuit d’eau interne du bouilleur, circuit qui alimente le chauffage central et l’eau chaude sanitaire.
Bilan CO²
En se consumant, le bois libère simplement le gaz carbonique emprisonné en lui, mais ne crée pas une nouvelle pollution, à l’inverse des déchets radioactifs ou des hydrocarbures. Son bilan de rejet CO² est ainsi nul.
L’émanation de dioxyde de carbone équivaut à celle de la putréfaction naturelle en forêt. Elle n’a donc aucune incidence sur l’effet de serre. Ses congénères vont à leur tour absorber le CO² dégagé et le cycle continu.
Astuce : planter un arbre lorsqu’on en coupe un est un geste citoyen utile.
Coût
0.03€ par kWh, qui dit mieux ? Côté coût énergétique, c’est le prix d’un stère de bois seul qui entre en ligne de compte. Ce prix est mis en relation avec le rendement pour donner des résultats financiers inspirants !
Pas d’entretien particulier pour ce genre de machine. Si vous faites votre bois et votre ramonage vous-même, la rentabilité du système est imbattable !
Nos bouilleurs proviennent essentiellement d'Italie, le pays incontesté de la qualité en matière de chaleur et de durabilité.
Poêle bouilleur
Le poêle est facile à installer. On choisi son aspect dans les coloris et finitions disponibles et on le connecte à son ballon.
Insert bouilleur
Dans le choix d'un insert, c'est la finition qui prend le plus de temps. Par contre, aucun autre bouilleur ne ressemblera au vôtre. Modèle unique garanti !
Cuisinière bouilleur
La cuisinière bouilleur ne convient pas aux petits volumes. Choix dans les coloris et finitions proposées. Mais la cuisine au bois a évidemment de bons atouts !
Equipement nécessaire à l'installation, le ballon est un tampon et un stockage de chaleur.
Ballons classiques
C'est un ensemble de 2 ballons. Un pour le stockage de chaleur et l'autre pour l'eau chaude sanitaire. C'est plus complexe au montage, et prend plus de place. Les stocks d'eau chaude sont gérés séparement.
Ballon solaire combiné
Ballon unique, il stock une chaleur qui sert à la fois pour le chauffage, et l'eau chaude sanitaire produite en instantanée. Gain de place et de temps d'installation, il supprime en plus les soucis de légionellose dans les installations.
Le ballon solaire combiné, ou ballon hygiénique, présente l'avantage d'avoir tout en un. Il est équipé de deux serpentins ou échangeurs, et d'un troisième pour faire chauffer l'eau sanitaire de manière instantanée.
Vous avez dejà un poêle à bois ?
Vous avez déjà un poêle à bois ? Profitez de sa chaleur pour chauffer votre eau chaude et les radiateurs en adaptant cet échangeur sur votre conduit de fumées !
L'échangeur de conduit est une alternative incontournable pour profitez pleinement de son poele à bois !
Vous avez peu de place ?
C'est l'équipement indispensable pour les petits formats et volumes (tiny house, yourtes et habitats réversibles en tout genre). Ce poêle à bois bouilleur passe partout, et il existe en version cuisinière !
Le bouilleur se décline en poêle, cuisinière ou insert. Il alimente radiateurs, eau chaude et tarte dans le four pour sa version cuisinière.
Réalisez
vous-même
votre installation !
Généralités
Une installation bouilleur complète revient en moyenne à 15.000€ avec le ballon approprié.
Mais les premiers tarifs sont de l'ordre de 9.000€ et peuvent monter jusqu'à 25.000€. Tout dépend des surfaces à chauffer et de l'isolation !
Oui et non. On pourrait envisager de fonctionner directement avec les radiateurs et l'inertie des murs de la maison. Quand la température devient satisfaisante, on arrête d'alimenter la poêle afin d'éviter les surchauffes. Mais il faudra quand même un ballon pour l'eau chaude sanitaire.
En autonomie avec poêle + échangeur, ou bouilleur à bois, ce qui importe c’est de diffuser rapidement la chaleur. C’est pourquoi nous vous conseillerons des radiateurs à basse température, techniquement appelés Type 33 ou T33. Concrètement, c’est un radiateur plus large qu’un radiateur classique, ce qui lui permet d’avoir une plus grande surface d’échange avec l’air.
N’oubliez pas les vannes thermostatiques correspondantes, afin que chaque pièce soit à votre gout !
autour du poêle
Le grand avantage du poêle de masse est son inertie. D’où l’importance de concevoir la maison autour de lui pour une diffusion optimale de la chaleur. Si ce n’est pas possible, mieux vaut opter pour un poêle bouilleur, avec une diffusion de la chaleur via radiateurs ou plancher chauffant. Dans le cas contraire, la chaleur risque de ne pas être correctement répartie dans l’habitation.
Son coût d’installation est similaire au poêle bouilleur. Cependant, son entretien sera plus pointu, et se fait en général par un artisan spécialisé. Il n’est pas toujours facile d’y insérer un échangeur pour chauffer l’eau chaude sanitaire. La chaleur étant soit trop forte ou trop douce. Le poêle de masse reste bien évidement une valeur sûre, mais pas pour toutes les configurations.
Le poêle à pellet ou poêle à granulé vous lie à un fournisseur d’énergie. Sans ce fournisseur, pas de chauffage possible ! Comme une chaudière à fioul ne peut brûler que du fioul, ce poêle ne peut consumer que du pellet. Cette solution n’a donc pas sa place en autonomie, puisqu’elle ne vous rend pas indépendant, à moins de fabriquer vous même votre pellet.
En plus, le poêle à granulé intègre des mécanismes internes qui se détériorent plus ou moins rapidement avec le temps, et qui vous rendent dépendant d’un réparateur, et de pièces détachées… Tout le contraire de ce qu’on aime en autonomie énergétique !…
Techniquement et éthiquement, nous n’avons rien contre la chaudière à bois. Seul hic, c’est qu’elle ne se trouve pas dans les pièces de vie. Pourtant, en hiver, votre corps en général et votre peau en particulier, ont besoin de soleil et de sa Vitamine D associée. La peau retrouve le soleil dans la flamme du feu de bois. Le bois est ainsi un stock de soleil pour l’hiver !
En effet, la flamme de bois émet des rayons infrarouges, nécessaires à la production d’enzymes et de différentes hormones. Ces rayons infrarouges dilatent les veines et stimulent la circulation sanguine.
C’est bon pour le moral, surtout en hiver !